Une écrivain brésilienne, Vanessa de Oliveira, a trouvé un moyen pour le moins original pour faire parler d’elle. Au prétexte du piratage qui nuirait à sa carrière, elle a décidé de se dénuder presque intégralement sur la Plaza de Armas à Lima, au Pérou où elle avait donné rendez-vous aux journalistes.
C’est ainsi vêtu avec l’inscription « Non au piratage » écrits en rouge sur son corps qu’elle a expliqué son leitmotiv : « Je fais cela pour que mon livre ne soit plus piraté partout dans le monde (…) Un pays est fait avec la culture, avec des livres. Lorsque des gens piratent des livres, la culture est en danger. Le Pérou est le premier pays où je vois ça. Au Brésil, il n’y a pas de piratage de livres. Ce que je constate ici est une honte ». Cela ressemble furieusement à une communication d’enfer qu’à un réel cri du cœur. Il faut dire que la belle est une ancienne escort-girl reconvertie en écrivain pour distiller des conseils de séduction aux femmes ou encore leur apprendre à gérer l’infidélité de leur conjoint. Bref, un bon coup de promotion pour pas cher. Je sais désormais ce qu’il me reste à faire pour vendre mes livres…
Nan lâche l’affaire Admin, on veut pas assister à ça, je te préviens, si tu fais ça, je fais comme si on se connaissait pas.
Sinon, ça va elle en a l’habitude, après ce n’est que mon avis mais dans la mesure où elle ne montre pas ses organes génitaux et que ses seins n’ont rien de plus sexuel/érotique (appelez ça comme vous voulez) que la station gambetta, je vois pas pourquoi on floutte, dans la mesure ou la tradition africaine voit des femmes les seins à l’air, cela ne me choque pas, même si les pratiques sont différentes en Europe
Ce n’est pas faux! Tout est histoire de coutumes.
Hé mince, moi qui espérais regrouper du monde autour de moi avant de déballer la marchandise… Je vais devoir travailler sur un autre concept.