C’est du moins la théorie de chercheurs anglais et australiens qui se sont penchés sur le cas de la truite de corail vivant dans l’océan Pacifique et plus précisément dans la Grande barrière de corail. Et sur les 136 poissons visés par cette étude, publiée dans la revue scientifique Plos One, 15% étaient atteints de tâches noires, des mélanomes, pouvant recouvrir jusqu’à 5% de leur peau orange. Continue reading